La Fédération royale de football espagnole (RFEF) a défendu lundi le différend espagnol de la Super Cup en Arabie saoudite Parce que “cela se traduit par l’avantage” du football national et que bien qu’il ne soit pas joué en Espagne depuis 2018, cela provoque que dans le pays, il se joue “plus et mieux” pour l’impact économique sur les clubs non professionnels.
Pendant la célébration de l’extraordinaire Assemblée générale dans la ville du football de Las Rozas (Madrid), Le trésorier fédératif, Eduardo Bandrés, a expliqué que la Super Cup espagnole représente “33% des revenus de parrainage”et par la suite une vidéo explicative a été publiée pour influencer “qui gagne” avec cette internalisation du tournoi.
Donc, La vidéo a souligné comment la Super Cup est passée de 2,5 millions d’euros célébrant sur le territoire national Multiplier par plus de 20 ce montant avec sa célébration en Arabie saoudite, avec le format «final à quatre» et aux nouvelles dates en janvier.
Le tournoi génère 51 millions d’euros (27 pour le parrainage, 11 pour les droits audiovisuels, 10 pour les services et 3 en voyage et hôtels) Chaque année, “sont alloués aux clubs espagnols espagnols et non professionnels”, avec environ 26 millions “en totalité” pour ce dernier. «Rendez plus attrayant les tournois organisés par la RFEF entraînent le bénéfice du football dans tout notre pays. Depuis 2018, la Super Cup n’est pas jouée en Espagne, mais en Espagne, elle est jouée de plus en plus », a conclu la vidéo.
De plus, pendant l’assemblage, Le budget RFEF pour 2025 a été approuvé par une grande majorité, qui comprendra 379,6 millions d’eurosavec “une légère descente”, comme l’a dit Eduardo Bandrés, par rapport à 2024 (392.1). “Les principales raisons de cette différence ont à voir avec certains problèmes qui ne sont pas répétés d’un an à un autre, d’autres qui ont à voir avec la participation des sélections à certaines compétitions, ou également avec certains jeux que cette année, nous n’avons pas voulu intégrer, par exemple, l’un des 15 millions inclus de manière répétée et qui n’a pas été réglée au cours des années précédentes, ce qui a fait l’objet d’un lien controversé avec une résolution favorable de celui-ci”, a déclaré Treashers.
Cela a également rappelé qu’ils n’avaient pas “pour le moment” avec l’aide du Conseil des sports supérieurs pour la candidature à la Coupe du monde, qui en 2024 était de 7 millions, les changements dans certains jeux tels que ceux du Fonds de solidarité de l’UEFA ou la célébration cette année de la finale de la Ligue européenne à San Mamés.
«Ce ne sont pas des problèmes de gestion, ce sont des problèmes qui ont à voir avec des faits ou des circonstances qui ne seront pas répétés. En ce sens, c’est un budget plus réaliste que ce que nous avions jusqu’à présent et sera plus serré que nous ne le pensons enfin », a réglé Bandrés sur un budget approuvé par 97 voix en faveur, 0 contre et 6 abstentions.
The soil of Rafael Louzán was also voted as president, which will be 378,521 euros gross, somewhat higher than the one he had already approved on July 30 for the still president Pedro Rocha (368,211 euros) and that it was “a 50 percent reduction” of that of Luis Rubial Bandrés, qui a averti que dans la rémunération de Louzán “La clause de mise à jour a été incorporée au CPI de décembre, 2,8%”. Ce montant a été approuvé par la majorité absolue (95 en faveur, 0 contre et 5 abstentions).
Trois nouveaux comités pour la structure économique
D’un autre côté, Manuel Lalinde, directeur général de la RFEF, était chargé d’expliquer les trois nouveaux comités qui ont été créés avec l’arrivée du nouveau président et auront trois niveaux différents. Ainsi, le 1 sera en charge des dépenses approuvées de 20 000 euros à 250 000 euros, sur 2 sur 250 000 euros à un million d’euros, et 3, “qui était l’ancienne Commission économique”, d’un million d’euros “à partir de”.
Tous ces niveaux sont «constitués par des techniciens». “Le niveau 1 sont les administrateurs de la Chambre, le 2 est un mélange de techniciens de la Chambre avec des membres du conseil d’administration qui ont été nommés par le nouveau président, et 3 par exclusivement des membres du conseil d’administration et certains externes qui valideront également les dépenses qui sont plus importantes, celle d’un million d’euros”, a déclaré le directeur.
Pour Lalinde, “avec ces trois niveaux, il est destiné, un peu, diversifiant la prise de décision et ne tombe pas toujours dans le même comité”. “Aucun problème n’est apparu, mais il pourrait être entendu qu’il est un peu vicié ou falsifié que toutes les décisions économiques tombent toujours dans les mêmes personnes”, a-t-il déclaré.
“À son tour, nous travaillons sur une politique interne de dépenses, une compensation des dépenses, des voyages et ce qui est un peu à donner un contenu réglementaire à toutes les procédures internes que nous avons détectées qu’ils étaient initialement constitués, mais qui n’ont pas été développés correctement pour une entité avec ce budget et cette opération”, a ajouté le directeur général fédératif, qui a affirmé que l’intention est “pour créer une structure transparente que tout le monde peut connaître”.
